La mairie

Le Maire et les élus

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M. Jérôme Moroge a été élu Maire d’Oullins-Pierre-Bénite le 6 janvier 2024. Avec les élus du Conseil Municipal, il exerce un mandat de 6 ans.

Le Conseil Municipal

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Le Conseil municipal d’Oullins-Pierre-Bénite est formé de 67 élus, dont le Maire, un Maire délégué, 18 adjoints, 16 conseillers délégués, 18 conseillers et 13 élus d’opposition.

L'exécutif

Jérôme Moroge

Maire d’Oullins-Pierre-Bénite

Conseiller régional Auvergne – Rhône-Alpes

Marlène Bontemps, 1ère adjointe – à l’urbanisme, l’habitat, la politique de la ville, la culture et aux échanges internationaux (nouvelles délégations depuis le 10 déc. 2024)

David Guilleman, 2e adjoint – au Développement durable, aux espaces publics et au cadre de vie

Patricia Dauvergne, 3e adjointe – Affaires scolaires

Patrice Langin, 4e adjoint – Stationnement, police administrative et gestion des bâtiments publics de la commune déléguée de Pierre-Bénite

Marysa Dominguez, 5e adjointe – Affaires sociales, personnes âgées et logement

Clément Delorme, 6e adjoint – Ressources humaines et budget

Sandrine Comte, 7e adjointe – Développement économique et artisanat

Louis Proton, 8e adjoint – Sécurité et tranquillité publiques

Christine Chaland, 9e adjointe – Affaires générales et juridiques

Christian Ambard, 10e adjoint – Commerce et marchés forains

Marine Boissier, 11e adjointe – Famille et jeunesse

Thierry Duchamp, 12e adjoint – Relations avec les associations et les clubs sportifs et au passeport jeunesse

Sandrine Guillemin, 13e adjointe – Grands projets et patrimoine communal

Philippe Souchon, 14e adjoint – Equipements sportifs, santé et handicap

Alhame Tabboubi, 15e adjointe – Insertion et emploi

Jean-Louis Claude, 16e adjoint – Mobilités, voirie et gestion du domaine public

Levana Mbouni, 17e adjoint – Numérique et pouvoir d’achat

Les groupes élus au Conseil Municipal

Le groupe de la Majorité municipale

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Conseillers délégués

Cédric Barbiero

Tassadit Bellabas

Anaëlle Caillet

Eliane Chapon

Oihiba Dridi

Frédéric Hyvernat

Pierre Laforêts

Dominique Large

Marion Leclere

Philippe Locatelli, président de la commission d’appels d’offres

Marjorie Mercier, Conseillère municipale déléguée à la culture (depuis le 10 décembre 2024)

Jean-Luc Pays

Marie-Laure Piquet-Gauthier

Paul Sachot

Max Sébastien

Bertrand Segrétain

Georges Tranchard

 

Conseillers municipaux

Anne-France Argans

Nora Belattar

Sandrine Belmont

Michèle Calvano

Anne Demond

Alain Donjon

Yann-Yves Du Repaire

Marcel Golbery

Sandrine Hallonet-Vaisma

Josiane Martin

Maryse Michaud

Alexis Montoliu

Anne Pasturel

Christiane Plassard

Jacques Ros

Chantal Turcano-Durousset

Jean-Luc Vidalot

 

Groupe d’opposition « Le temps d’agir »

Jean-Charles Kohlhaas

Benjamin Giron

Michel Baarsch

Nadine Badr-Vovelle

Claire Belissen

Alexandre Hebert

Claude Mouchikine

 

Groupe d’opposition « Gauche écologie rassemblées »

Bernard Javazzo

Maud Millier Dumoulin

 

Groupe d’opposition « Socialistes, la gauche sociale et écologique et apparenté.es »

Joëlle Séchaud

 

Groupe d’opposition « Communistes et progressistes »

Bertrand Mantelet

 

Groupe d’opposition « Pour Pierre-Bénite »

Pierre-Marie Mauxion

 

Groupe d’opposition « Pierre-Bénite En avant »

Anissa Hidri

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Tribunes libres

Tribunes libres du journal “Traits d’Union n°13 (avril 2025)

Groupe majoritaire “100% fiers d’Oullins-Pierre-Bénite » : ZFE, un dispositif précipité et injuste

La mise en place des Zones à Faibles Émissions (ZFE) dans la Métropole de Lyon est une mesure brutale et injuste qui frappe de plein fouet les classes moyennes et populaires.
Si nous partageons l’objectif d’une amélioration de la qualité de l’air, nous dénonçons l’aveuglement idéologique de l’exécutif métropolitain, qui impose des restrictions sans mesurer leurs conséquences sur les habitants.
Le dispositif actuel punit ceux qui n’ont pas les moyens de changer de voiture. Comme toujours la Métropole choisit d’interdire plutôt que d’accompagner.
En rendant des milliers de véhicules inutilisables sans alternatives crédibles, la Métropole enferme ses habitants dans une impasse sociale et économique.
Dans le cadre de la loi de simplification, plusieurs députés ont déposé à l’Assemblée nationale des amendements pour améliorer le déploiement des ZFE, prenant en compte les réalités locales.
Nous soutenons cette initiative qui rappelle qu’une transition écologique ne peut réussir qu’avec un accompagnement sérieux, et non par des décisions autoritaires et déconnectées du terrain.
Convaincus par cette démarche, nous avons voté lors du dernier conseil municipal, un voeu demandant une révision immédiate de la ZFE afin qu’elle tienne compte des réalités économiques et sociales.
Ce voeu s’inscrit dans une démarche collective initiée au sein des groupes d’opposition la Métropole et présenté lors du conseil métropolitain du 17 mars 2025.
Si l’amélioration de la qualité de l’air est une nécessité, une politique publique ne peut pas être menée contre la population. Or, la Métropole de Lyon agit comme si elle gouvernait pour elle-même, déconnectée des préoccupations réelles des habitants.
Depuis le 1er janvier 2025, 154 029 véhicules (22,70 % du parc métropolitain) sont interdits de circulation, alors que les aides accordées par la Métropole depuis 2022 n’ont concerné que 512 véhicules !
Pire encore, l’exécutif métropolitain a décidé d’aller au-delà des exigences légales en étendant la ZFE aux voies structurantes, en l’imposant 24h/24 et en programmant l’interdiction des véhicules Crit’Air 2 d’ici 2028, soit 224 844 véhicules supplémentaires (33,14 % du parc automobile).
Cette fuite en avant est irresponsable et méprisante envers ceux qui n’ont d’autre choix que d’utiliser leur voiture pour travailler et vivre.
Nous refusons cette politique punitive et dogmatique.
Gouverner, ce n’est pas imposer ses certitudes idéologiques : c’est écouter, comprendre et adapter les décisions aux réalités du territoire.
Nous continuerons à défendre une écologie du bon sens, conciliant justice sociale et protection de l’environnement.
La Métropole de Lyon doit sortir de sa tour d’ivoire et entendre enfin la voix des habitants qu’elle prétend représenter.

Jérôme MOROGE Clotilde POUZERGUE Marlène BONTEMPS David GUILLEMAN Patricia DAUVERGNE Patrice LANGIN Marysa DOMINGUEZ Clément DELORME Sandrine COMTE, Louis PROTON Christine CHALAND Christian AMBARD Marine BOISSIER Thierry DUCHAMP Sandrine GUILLEMIN Philippe SOUCHON Ahlame TABBOUBI Jean-Louis CLAUDE Solange MARTELLACCI Lévana MBOUNI Cédric BARBIERO Tassadit BELLABAS Anaëlle CAILLET Éliane CHAPON, Oihiba DRIDI, Frédéric HYVERNAT, Pierre LAFORETS, Dominique LARGE, Marion LECLÈRE, Philippe LOCATELLI, Jean-Luc PAYS, Marie-Laure PIQUET-GAUTHIER Paul SACHOT, Max SÉBASTIEN, Bertrand SEGRETAIN, Georges TRANCHARD, Nora BELATTAR, Sandrine BELMONT, Michèle CALVANO, Anne DEMOND, Alain DONJON, Yann-Yves DU REPAIRE, Marcel GOLBERY, Sandrine HALLONET VAISMAN Josiane MARTIN, Marjorie MERCIER, Maryse MICHAUD, Alexis MONTOLIU, Anne PASTUREL, Christiane PLASSARD, Jacques ROS, Chantal TURCANO-DUROUSSET Jean-Luc VIDALOT

 

Groupe d’opposition « Le temps d’agir » : La qualité de l’air s’améliore dans la métropole de Lyon

La pollution de l’air est responsable d’environ 40 000 décès prématurés chaque année en France (environ 1200 dans la métropole de Lyon) liés à l’asthme, au cancer du poumon, aux infarctus, AVC… selon Santé Publique France.
D’après une étude récente de l’observatoire Atmo, la métropole de Lyon arrive en tête du classement des grandes agglomérations d’Auvergne- Rhône-Alpes où la qualité de l’air s’est le plus améliorée en 2024.
Entre 2019 et 2023, sur toute la métropole, les concentrations annuelles ont baissé de 23% pour le dioxyde d’azote (NO2) et de 11% pour les particules fines (PM2.5).
Si le renouvellement du parc automobile a sa part, la réduction du trafic aussi.
Cette accélération de l’amélioration est le fruit des efforts concertés de l’exécutif métropolitain pour réduire les principaux polluants nocifs pour la santé et améliorer la qualité de vie des habitants, notamment des plus vulnérables :
– Zone à Faibles Émissions (ZFE) : instaurée en 2020 par l’État dans
La Métropole, elle vise à limiter la circulation des véhicules les plus polluants.
– Développement des alternatives à l’autosolisme : plan piéton, voies lyonnaises, aménagements cyclables, renforcement des métros, nouvelles lignes de tram et de bus, covoiturage, autopartage…
– Mesures solidaires sur le réseau TCL : abonnements Solidaires sous conditions de ressource, ticket famille illimité à la journée, gratuité pour les enfants jusqu’à 10 ans à partir de septembre 2025.
– Politiques énergétiques ambitieuses : depuis 2020, La Métropole investit massivement dans l’isolation des bâtiments, le remplacement des chaudières anciennes et le remplacement des vieux chauffages bois.
– Rues d’écoles apaisées et moins polluées : création de 56 rues d’enfants à Lyon, dont 16500 enfants bénéficient : rues piétonnes, végétalisées, sécurisées, avec espaces ludiques.
– Air plus sain dans les métros : mesures régulières de la qualité de l’air, freins électrodynamiques dans les nouvelles rames avec réduction de 50% du taux des particules fines en 2 ans, expérimentation à la station Saxe-Gambetta de 8 colonnes devant
capturer jusqu’à 95% des particules fines, nettoyage approfondi des stations réduisant la concentration des particules fines.
– Surveillance de la pollution industrielle : subventionné en partie par La Métropole, Atmo surveille la qualité de l’air dans la Vallée de la chimie, notamment des PFAS, avec l’installation des micro capteurs fixes. La Métropole accompagne les entreprises dans leur transition.

Malgré toutes ces actions, la bataille pour une meilleure qualité de l’air est loin d’être gagnée. La médecine est de plus en plus alarmiste.
A notre regret, à Oullins-Pierre-Bénite, la qualité de l’air et la santé des habitants n’est pas la priorité de M. Moroge. La majorité freine toute mesure allant dans ce sens : apaisement des rues d’écoles, aménagements piétons et vélos, apaisement des circulations…
Nous continuerons avec pédagogie et respect à débattre et avancer dans ce sens, à convaincre que « Respirer mieux, c’est vivre mieux ». C’est ce à quoi Le Temps d’Agir aspire pour notre ville !

Jean-Charles KOHLHAAS Benjamin GIRON, Nadine BADR-VOVELLE Michel BAARSCH, Claire BELLISSEN Alexandre HEBERT Claude MOUCHIKINE

Groupe d’opposition Élu(e)s « Gauche écologie rassemblé(e)s»

Le texte n’ayant pas été envoyé dans les délais impartis, cette tribune n’est pas publiée.

Bernard JAVAZZO, Maud MILLIER DUMOULIN

Groupe d’opposition « Socialistes, la gauche sociale et écologique et apparenté.es » : Le Centre de santé B.-Frachon

La volonté municipale à sa création en 1976 : Permettre à tous les habitants de se soigner. Sur un même lieu réunissant de nombreuses spécialités étaient proposés des soins et services de proximité, avec des tarifs encadrés en salariant les professionnels de santé. Face à la pénurie actuelle de médecins, la commune doit être inventive et faire du maintien du centre de santé B. Frachon une priorité.

Joëlle SÉCHAUD

Groupe Communistes et progressistes : L’humain d’abord !

La mobilisation d’associations, de partis de gauche, de salarié.e.s d’ADOMA et de nombreuses autres personnes aura poussé l’État à revenir sur son intention de mettre à la rue des familles logées au foyer d’Oullins. Néanmoins, dans ce climat de stigmatisation de l’immigration, il faut rester vigilant pour que nos valeurs humanistes l’emportent !

bmantelet@oullinspierrebenite.fr

Bertrand MANTELET

Groupe d’opposition « Pierre-Bénite En avant »

Le texte n’ayant pas été envoyé dans les délais impartis, cette tribune n’est pas publiée.

Anissa HIDRI